En 2018, Naomi Musenga, une jeune femme de 22 ans habitant Strasbourg, a tragiquement perdu la vie après une série d’événements marqués par une mauvaise prise en charge médicale. Lors d’un appel aux urgences, sa situation a été minimisée, ses symptômes attribués à une simple crise d’anxiété, malgré ses cris de détresse et ses signes alarmants. Cette absence de réaction adéquate a conduit à un retard crucial dans l’accès aux soins, aggravant ainsi son état de santé.

Les conclusions officielles de l’enquête judiciaire ont mis en lumière plusieurs points clés :

  • Une intoxication aiguë au paracétamol, détectée post-mortem, a été identifiée comme la cause principale du décès.
  • Des manquements dans la qualification de l’urgence lors de l’appel au SAMU.
  • Une absence de traitement précoce alors que les symptômes étaient compatibles avec…